

Huile sur toile 60cm x 60cm
encadrement caisse américaine couleur noir
Personnalisation
N'oubliez pas de sauvegarder votre personnalisation pour pouvoir l'ajouter au panierSi tu te perds dans le passé, n'oublie pas de refermer la porte du temps
Le tableau "C’était Hier" de Dominique Prévots est une exploration visuelle du passé, une représentation abstraite où les souvenirs se mêlent aux émotions, créant un paysage intérieur aussi évanescent qu'intense. La citation "Si tu te perds dans le passé, n'oublie pas de refermer la porte du temps" semble résonner à travers chaque élément de la composition, soulignant l'importance de ne pas se laisser enfermer dans les méandres du temps révolu.
Sur la toile, les formes géométriques semblent flotter dans un espace indéfini, un espace où les contours du temps se diluent et se transforment. La palette de couleurs, dominée par des teintes douces de beige, de crème et de brun, évoque la patine du temps, les souvenirs qui s’effacent doucement mais jamais complètement. Ces tons neutres sont rehaussés par des éclats de rouge et de bleu profond, comme des fragments d’instants marquants, des émotions vives qui percent la surface de la mémoire.
À gauche, la toile est plus éthérée, presque vide, comme si les souvenirs s’effaçaient peu à peu, ne laissant que des traces à peine perceptibles, des vestiges d’un passé lointain. À droite, les formes se densifient, les couleurs s'intensifient, suggérant des moments plus clairs, plus vifs, qui résistent à l'oubli. Les touches de rouge, éparpillées comme des braises encore chaudes, rappellent des souvenirs passionnés, des instants chargés de vie qui brûlent encore malgré le passage du temps.
Le rectangle bleu profond, presque carré, à droite de la composition, attire l'œil par son intensité et son contraste avec les autres couleurs. Il pourrait symboliser une porte, une ouverture vers un passé révolu, ou peut-être la fenêtre d’une mémoire verrouillée, qui conserve encore en elle la profondeur des émotions vécues. Le bleu, couleur de la mélancolie et de la réflexion, semble protéger ou retenir ces souvenirs dans une sorte de coffre-fort temporel.
La composition semble divisée, presque comme si elle était coupée en deux par une ligne invisible qui sépare le passé du présent. Cette division pourrait symboliser cette porte du temps que la citation évoque, une barrière invisible mais puissante entre ce qui a été et ce qui est. Il y a dans cette œuvre un sentiment de nostalgie, mais aussi une mise en garde contre l’attrait d’un passé idéalisé. Le flou qui entoure certaines formes, la manière dont les couleurs se mélangent et s'évanouissent, rappelle que les souvenirs sont souvent imprécis, modulés par le temps et par l'esprit.
"C’était Hier" n’est pas simplement un regard vers le passé, c’est une méditation sur le rapport que l’on entretient avec celui-ci. Dominique Prévots, à travers cette toile, semble nous inviter à naviguer dans nos propres souvenirs avec précaution, à ne pas nous laisser submerger par eux, et surtout, à ne pas oublier de refermer cette porte du temps lorsque nous choisissons d’en sortir. Le tableau, avec sa douceur et sa complexité, nous rappelle que le passé, bien qu'il puisse être un refuge, doit toujours rester une étape, jamais une destination.Le tableau "C’était Hier" de Dominique Prévots est une exploration visuelle du passé, une représentation abstraite où les souvenirs se mêlent aux émotions, créant un paysage intérieur aussi évanescent qu'intense. La citation "Si tu te perds dans le passé, n'oublie pas de refermer la porte du temps" semble résonner à travers chaque élément de la composition, soulignant l'importance de ne pas se laisser enfermer dans les méandres du temps révolu.
Sur la toile, les formes géométriques semblent flotter dans un espace indéfini, un espace où les contours du temps se diluent et se transforment. La palette de couleurs, dominée par des teintes douces de beige, de crème et de brun, évoque la patine du temps, les souvenirs qui s’effacent doucement mais jamais complètement. Ces tons neutres sont rehaussés par des éclats de rouge et de bleu profond, comme des fragments d’instants marquants, des émotions vives qui percent la surface de la mémoire.
À gauche, la toile est plus éthérée, presque vide, comme si les souvenirs s’effaçaient peu à peu, ne laissant que des traces à peine perceptibles, des vestiges d’un passé lointain. À droite, les formes se densifient, les couleurs s'intensifient, suggérant des moments plus clairs, plus vifs, qui résistent à l'oubli. Les touches de rouge, éparpillées comme des braises encore chaudes, rappellent des souvenirs passionnés, des instants chargés de vie qui brûlent encore malgré le passage du temps.
Le rectangle bleu profond, presque carré, à droite de la composition, attire l'œil par son intensité et son contraste avec les autres couleurs. Il pourrait symboliser une porte, une ouverture vers un passé révolu, ou peut-être la fenêtre d’une mémoire verrouillée, qui conserve encore en elle la profondeur des émotions vécues. Le bleu, couleur de la mélancolie et de la réflexion, semble protéger ou retenir ces souvenirs dans une sorte de coffre-fort temporel.
La composition semble divisée, presque comme si elle était coupée en deux par une ligne invisible qui sépare le passé du présent. Cette division pourrait symboliser cette porte du temps que la citation évoque, une barrière invisible mais puissante entre ce qui a été et ce qui est. Il y a dans cette œuvre un sentiment de nostalgie, mais aussi une mise en garde contre l’attrait d’un passé idéalisé. Le flou qui entoure certaines formes, la manière dont les couleurs se mélangent et s'évanouissent, rappelle que les souvenirs sont souvent imprécis, modulés par le temps et par l'esprit.
"C’était Hier" n’est pas simplement un regard vers le passé, c’est une méditation sur le rapport que l’on entretient avec celui-ci. Dominique Prévots, à travers cette toile, semble nous inviter à naviguer dans nos propres souvenirs avec précaution, à ne pas nous laisser submerger par eux, et surtout, à ne pas oublier de refermer cette porte du temps lorsque nous choisissons d’en sortir. Le tableau, avec sa douceur et sa complexité, nous rappelle que le passé, bien qu'il puisse être un refuge, doit toujours rester une étape, jamais une destination.